Conf pomme
Par Guillaume Lepetit (2021 à Clohars)
Après la maladie de la vigne XIX
Il y avait une obligation de replanter (la qtt de pommiers était attaché au terrain, sur bordereaux) ; beaucoup de multiplications se faisaient via pépins
Peu de vergers exclusifs, largement co-plantés
Cet alcool aurait eu un intêret pour faire sécher la poudre
On pouvait payer les fermages en Cidre
post-WW1
La bière remplace le cidre dans les bistrots
1950 : méca
Mécanisation lourde, disparition des vergers traditionnels en bordure des champs
Les maisons remplacent les pommiers
1970-80 : renaissance autrement
Rennaissance des vergers mais basse-tige
Début de la conservation
1980-90 : premières assos pomologiques ; inventaires et vergers conservatoirs
2011 : naissance du Pôle Fruitier : ~4000 variétés de Bretagne de pommiers dont 80% à cidre
Aujourd'hui
Recrudescence des plantations ; il y a un renouveau de leur attrait par le jus de pomme
Les vergers basse-tige posent le problème de gestion de maladie
La création de variété est coûteux, le ratio de l'INRA est de 200 000 semé/1 variété/an
Le choix variétal est un motif de differenciation chez les cidriers ; on est passé d'une économie de quantité à une économie de qualité.
Spécialisation des régions
Loire/Limousin : vallée d'arbres à couteau
Normandie/Picardie/Pays Basque : moins spécialisé
Bretagne : export de pomme mais peu de cidre (allemagne surtout, un peu en russie)
Q/A
"Piège à phéromones, piège à con" : crée efficacement la confusion pour l'accouplement mais pas la ponte !
Blanc/chaux : seulement en mesure d'urgence
Le traitement de la carpocapse tue les papillons ; les oiseaux se barrent ; plus de contrôle des ravageurs.
L'anthonome mange les boutons de fleur
Trop de fleurs = taux de sucre bas = brunissement
Variétés
Moisson rouge : 1ère hâtive de Bretagne
Teint frais Fouesnant : acidulée, était exporté dans les trains aux allemands (dans les wagons qui servaient aux choux)